le Consommateur

La bande annonce était drôle, mais laissait deviner que le film allait être nul et indigeste.
Mais quand on ne paye pas les films à la séance, on peut tout de même se laisser tenter.
Et, effectivement, c'est nul. Mais on se marre tout de même, il y a des bons mots de temps en temps.
En revanche, ça ne vaut pas le coup de payer une place de ciné (7 euros?) pour ça.
Les personnages du film parlent un franglais parfait du début à la fin et les costumes sont raccord avec l'histoire. Mais l'histoire on s'en fout. Il y a quand même de bonnes idées, et le film serait sûrement plus digeste vu chez soi en mangeant une pizza (pour la recette, contactez moi par mail).
L'année dernière j'avais vu un court métrage des Quiches parodiant le génialissime 8 Femmes de François Ozon sur mouviz.fr. Et c'était mieux. Je pense que Foon aurait été beaucoup plus réussit en format moyen (30-45 minutes).

En fait je ne l'ai pas vraiment testée moi même. Ce midi j'ai été au resto japonais (encore un autre) avec des collègues et j'ai pris un menu makis (qu'est-ce que c'est bon ces saloperies..!) et j'ai vu que ce resto propose une formule sushi à volonté pour 15 €. Un de mes collègues, Manu, ayant choisit cette formule un jour de grand appêtit, s'est vu décerné la médaille du plus grand mangeur de sushi de l'année par le patron. Il avait effectivement engloutit pas moins de 44 sushis... Faites le calcul, 44 sushis pour 15 €, c'est vraiment une bonne affaire ! Manu, félicitation !

Ce week end j'ai enfin finit ce livre... La fin est bien celle qu'on attend, sans surprise. Le changement du style de l'écriture apparu vers le milieu de l'histoire est en fait censée symboliser l'emprise de la drogue sur l'esprit du héros. Il n'y a pas un passage de ce livre qui m'ait plu. Et le pire, il n'y a pas la moindre phrase à sauver, pas de bon mot, d'expression originale, rien. Ce livre est chiant, mal écrit et franchement inintéressant. Le seul mérite que l'on peut reconnaitre à l'auteur et de l'avoir terminé et, surtout, d'avoir réussit à le faire publier...

Bon ok, ce film est sorti il y a quelques semaines. Mais c'est le dernier qui m'ait autant impressioné. (Entre temps, dans le désordre : Palais Royal, Wallace et Gromit, Les noces funéraires, Match Point, A History of Violence, la Boîte noire, etc.) Pourtant le synopsis me faisait pas envie, le trailer non plus et l'affiche pas du tout. Mais mon pote Jean-Mi me l'a chaudement recommandé... alors j'y suis allé. Quelle bonne surprise. Un film étonnant, qui, jusqu'à la dernière minute, reste surprenant. En sortant on a de quoi méditer. Les a-priori, les préjugés, le racisme, les valeurs, la morale... décidément nous ne vivons pas dans le monde manichéen décrit par les autres productions hollywoodiennes. Je ne sais pas combien vaut une place de ciné (pour moi c'est 18 euros par mois), mais en tout cas ce film vaut le coup.

Les Anges brûlent, de Thibault de Montaigu. 6,65 € Pfff, qu'il est chiant ce bouquin. Racontant les malheurs de Sophie, euh... de Justin, un pauvre petit garçon riche d'Auteuil (pas les orphelins, le quartier) qui voudrait bien sauter sa cousine mais qui doit passer son bac d'abord... et après ce sera trop tard. De toutes façons à la fin il se suicide. J'ai pas encore lu la fin, mais dès le début c'est écrit... L'auteur, qui connait le milieu qu'il décrit, ne connait visiblement pas grand chose d'autre. Il pense nous épater avec des banalités. Il frime avec du médiocre. Et le style évolue au fil des pages, pour devenir de moins en moins lisible. Il se la raconte un max, alors que c'est vraiment mal fait. Comme écrit plus haut, je ne l'ai pas encore fini, et pourtant ça fait plus d'une semaine que je l'ai commencé ce petit livre, mais il est tellement chiant... Quand le style est mauvais, on s'attend au moins à ce que l'intrigue soit bien montée (Da Vinci Code) ou à apprendre des choses sur le milieu décrit par le narrateur (99 Francs). Mais là, rien. Ces 6,65 euros, sont vraiment chers payés...

En fait c'est pas un café, c'est un resto. Et un resto japonais même que. Au printemps on y allait souvent (enfin, quand on allait au japonais on allait à celui-là). Depuis cet été on avait plutôt tendance à aller à Bercy. Et c'est marrant, à chaque fois qu'on changeait de resto on trouvait les sushis meilleurs que dans le précédent. Et puis cette semaine on est retourné au Sun. Parce que c'est pratique en transport et qu'on a une carte de fidélité à remplir (elle bientôt finie). Eh bien, on a trouvé les sushis meilleurs que dans les restos de Bercy... En fait, ce sont surtout les makis qui nous ont impressionés. Il faut dire qu'on adore les Las Vegas (saumon, concombre et avocat entourés de riz et recouvert de saumon... un régal). Et là on n'a pas été déçu. Ils étaient énormes et délicieux. En revanche, les brochettes Cheese Maki (boeuf-fromage) étaient décevantes.

Vous vous souvenez de Napster, Audiogalaxy et Kaazaa? Comme beaucoup de consommateurs, j'ai utilisé successivement ces services (parmis plein d'autres) de téléchargement pour remplir ma discothèque. C'était l'époque où iTunes n'existait pas sur PC, alors on écoutait nos MP3 avec Winamp... Bref, après Kaazaa j'ai installé eMule et sur Mac je suis passé à Bittorrent avec Azuréus. Mais les sites de liens Bittorrent ferment les uns après les autres et il devient impossible de télécharger quoi que soit. Un ami m'a dit qu'eDonkey marchait toujours et qu'il fallait absolument que je l'installe sur mon Mac. Je vous raconte pas l'horreur... télécharger l'applications, la lancer, la configurer, essayer de se connecter et... ne pas y arriver. Bref, j'ai finit par ressortir le PC du placard pour faire un pauvre téléchargement. ATTENTION, veillez à ne télécharger que des documents libres de droit. Télécharger une musique ou une vidéo piratée est un crime. Et à cause des méchants pirates les pauvres producteurs de films et de musiques souffrent dans leur petits coeurs tout raccornis en s'imaginant qu'ils pourraient faire de plus gros bénéfices. Les artistes, les musiciens et les acteurs ne sont pas des bénévoles, ils ont besoin que l'on achète leurs oeuvres pour vivre. Ne les laissez pas crever. MAIS, après tout, si vous télécharger c'est que vous avez un ordinateur, et sur le disque dur de votre ordinateur vous avez payé une taxe à la SACEM (qui est censée la reverser aux artistes). Sur votre ordinateur il y a probablement un graveur (de CD ou de DVD), et sur ce graveur vous avez payé une taxe à la SACEM. Si vous utilisez votre graveur, vous avez acheté des discs vierges, et sur ces discs vierges vous avez payé une taxe à la SACEM... Bref, avec toutes ces taxes que vous payez aux artistes, c'est bien la moindre des choses que vous piratiez non?

N'ayant pas envie de me casser la tête à télécharger illégalement une version piratée d'une chanson que j'avais en tête, j'ai décidé de payer le téléchargement. Alors je lance iTunes, je clique sur le Music Store, je recherche le morceau, je le trouve, je valide, je m'identifie avec mon compte Apple Store, je donne mon numéro d'amex, je valide, le téléchargement commence. Et en moins de temps qu'il n'en faut pour configurer eDonkey, me voici avec ma chanson dans iTunes. La qualité est très bien, la version est la bonne et en un cliquer-glisser c'est dans l'iPod. Le tout pour moins d'un euro. Ensuite j'ai reçu un mail d'Apple avec la facture. Puis de temps en temps une newsletter. C'est promis je recommencerai. PS : j'ai voulu recommencer peu de temps après, mais la chanson que je voulais n'est pas référencée... bouhouhou...

Mondialement connu et bon marché, cet objet en plastic transparent (ou orange, pour les pointes fines old school) fait chque jour mal aux doigts à des centaines de millions de personnes. Et pourtant, tout le monde continu de l'utiliser...

Le blog vient d'ouvrir, je vais essayer de le remplir, en vrac, n'importe comment.